Cet axe s’intéresse à la robustesse, à la précision ainsi qu’au temps de calcul des méthodes numériques davantage standard.
En particulier, garantir la stabilité des schémas numériques est un enjeu crucial pour la simulation de phénomènes complexes incrémentaux (contact dans un cadre dynamique, mise sous pression de structures gonflables). De plus, bien que le calcul parallèle soit de plus en plus utilisé pour profiter des performances des machines de calcul, l’accélération de résolution (multigrille, restart) et l’équilibrage de charge entre nœuds de calcul sont des problématiques auxquelles les membres de cet UTR se proposent de répondre. Enfin, le développement de modèles réduits ou de méta-modèles s’impose de plus en plus notamment pour réduire la complexité induite par la quantité croissante de données accessibles. Ces modèles de substitution doivent allier précision et faible coût de calcul.
Dans cet axe, les chercheurs de l’UTR développeront des stratégies pour répondre à ces deux enjeux (approximation de rang faible, utilisation de plusieurs niveaux de fidélité, estimation et maîtrise des erreurs).